Là-bas
Je suis d'un endroit
Où le branchage d'un arbre
Cache la tombée du jour millénaires
Et j'habite dans la terre ou s'élaguent
Les souvenirs des eaux du monde
Pour qu'ils habitent les yeux de l'oublie
D'un couple des amoureux.
Je suis le parfait inconnu
Qui a navigué contre les vents amazoniques,
Contre les neiges quebecuanas,
Et je suis,
Celui qui habite encore dans le territoire
Lequel tant nous aimons.
Je possède le même cœur que d'autrefois,
Il était une torche de flamme volcanique
Et il a parcouru l'horizon
Que nous avons profité,
Je ne sais pas si tu te souviens que dans cet endroit
nous ne regrettions pas,
Nous vivions les pensées
Qui étaient le vent de ton corps et de mon corps:
un éclat d'un meridian,
Qui lassé d'amour et de fatigue,
Illuminait le soir,
Qui avec envie de vie,
Avait besoin des nuits éternelles de lune,
Qui étaient,
Les pluies de l'amour,
ardeur des rencontres
Et de plaisir,
En constant lutte.